Aujourd’hui, l’intelligence artificielle prend une place importante. Néanmoins, il existe d’autres technologies toutes aussi révolutionnaires. La réalité virtuelle utilisée au travers des combinaisons sensorielles (sens du toucher recréé artificiellement) démontre bien l’étendue et la diversité des nouvelles technologies.
Les combinaisons haptiques, sensitives ou encore tactiles fonctionnent par des retours haptiques sur le corps dont le sens du toucher, recréé artificiellement, engendre des forces ou des vibrations. Ces tremblements peuvent être brutal, allant de l‘impact brutal d’une balle sur le corps, à la sensation délicate et complexe de se tenir sous une averse. Quand le réglage d’intensité se trouve au plus élevé, la combinaison peut donner un choc suffisamment puissant pour provoquer une contraction involontaire des muscles. En revanche, à son réglage le plus bas, il peut simuler des caresses.
Ces combinaisons s’installent progressivement au sein du divertissement pour donner accès à de nouvelles expériences. La combinaison de torse Skinetic d’Actronika le démontre bien. Elle offre une autonomie de 8h, des programmes lui permettant d’interagir avec des jeux en VR (réalité virtuelle), des jeux vidéo et des musiques. Les moteurs de la combinaison envoient des vibrations selon les interactions au sein de la VR (combat, environnement), ou selon la piste sonore. Elle permettrait de ressentir physiquement le son, comme celui d’un concert ou d’une action dans un jeu. La combinaison brille surtout au travers des jeux en VR.
La réalité virtuelle s’utilise aussi dans le domaine professionnel. La combinaison Teslasuit compte 68 canaux électro-tactiles. La combinaison joue avec des stimulations électriques et peut reproduire n’importe quelle sensation. Sa complexité technologique, ses multitudes de capteur et sa capacité à faire ressentir les changements de température justifient son utilisation dans un contexte professionnel. Elle a démontré la possibilité de l’utiliser en médecine pour des patients souffrant de lésions de la moelle épinière ou de blessures sportives.
Des visions d’isotopique…
Le film Ready Player One de Steven Spielberg illustre des dérives possibles pour le futur. Cette fiction se déroule en 2045, la technologie prend une grande place dans le monde donnant aux personnages accès à un univers virtuel. Il plonge les utilisateurs dans une addiction pour cette réalité, ne donnant plus envie de retourner dans le monde réel.
Rédigé par Zoé COUTANT, Charlotte MADEC, Doryan MAIA et Axel MAROUARD